Gravures

Parmi nos rédacteurs, chercheurs, enquêteurs et autres collaborateurs nous avons retenu trois personnes touchant de diverses manières le domaine de la reproduction d’image et notamment la gravure.

Ce sont donc les trois qui vont suivre qui vont nous servir de guide dans ce monde un peu mal traité par l’énorme diffusions d’images et de textes. 

Juste pour notre plaisir  deux incontournables de la gravures, Piranèse  https://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Prisons_imaginaires 

et Gustave Doré

Les prisons imaginaires second édition planche XIII Le puits

Travaux préparatoires

Gustave Doré

A noter, afin de se faire connaitre à la renaissances de nombreux peintres ont pratiqué la gravure divulguant leurs images, nous pensons à Dürer pratiquement plus connu pour ses gravures

Les choix de Pierre 

Dessin crayon PG d’après Jacques Beltrand

Gravure de Jacques Beltrand 

TR sur bois

Pierre ayant séjourné aux Beaux Arts de Paris, puis travaillé avec diverses techniques de reproductions( Héliographie, offset, microfilm, photographies, photocopies) a croisé, sans l’avoir pratiqué, la gravure.

C’est aux travers de lectures qu’il découvre Jacques Villon

La partie d'échecs 1904 Pointe-sèche et aquatinte

Renée 1911 Eau-forte

1939

Portrait d'acteur 1913 Pointe-sèche

L'aventure 1935 Eau-forte

Les haleurs 1930 Eau-forte

A noter que Jacques Villon se nommait Deschamps

Les choix de Jean-Pierre

JP a gravé mais a rencontré plusieurs fois un bon graveur et son entourage féminin. C’est donc un peu sentimentalement qu’il nous propose Edouard Righetti. 

Des trucs de JP


JPG Photogravure négatif 1973 

JPG Photogravure 1973 

 JPG sur lino 1974

Les choix de Paul-Joseph
  d'abord Goerg

PJ sous l’influence de JP fut admiratif à la première vision d’un gravure de Bourquin.

 

 Les clins d’œil

Celui de Pierre, 

Celui de JP, plaque d'imprimeur motif dessin par JP Hamon au milieu des années
1970

Celui de Paul-Joseph, le tampon scolaire d'une carte muette Afrique équatoriale.

Maintenant nous parlons de graphisme que nous multiplions à volonté sur la toile et parfois sur des épidermes.

Les gravures, les estampes ne sont plus qu’une affaire d’élites qui reconnaissent le prix de la qualité d’un tirage, et il y a aussi dans ce mélange, la calligraphie !

 Mais il reste les tailleurs de pierre, gravant des épitaphes et des noms sur des pierres tombales. L’informatique est sur le coup et nous aurons des lettres dans le caillou à la police de caractère désirée, la mise en forme et la taille bien choisie.